La solidarité entre collectivités et institutions, avec les aides financières du Conseil général et du Conseil régional mais aussi de la Réserve parlementaire et la Réserve du Sénat, permettent la création d’équipements utiles aux habitants, y compris dans les villes sans grands moyens.
Pour une ville comme Trilport, les financements croisés ont été essentiels, car l’effet d’addition des subventions a fait levier et a multiplié leur impact sur le moyen, voire le long terme.
Depuis 2002, le développement durable est au cœur des préoccupations des élus Trilportais, et les réalisations rendues possibles en sont l’illustration. Elles poursuivent deux objectifs prioritaires : rendre accessibles à tous des équipements publics répartis sur tout le territoire de la commune, et suivre une démarche de HQE (haute qualité environnementale) inédite à ce niveau. En répondant à une vision prospective, elles ont contribué à transformer durablement la ville.
D’autres partenariats sur des études ou des projets avec une expertise extérieure ont permis à la ville de mener à bien des projets et de pouvoir les réaliser grâce à ces compétences. C’est le cas du cahier des charges « référentiel durable » réalisé avec le CETE Île-de-France et le CAUE de Seine-et-Marne pour le choix de l’aménageur pour l’éco-quartier.
Construire et aménager pour tous en ayant conscience des enjeux économiques et environnementaux, telle est la priorité des élus, encore faut-il pouvoir le faire, ce qui sans les partenariats, ne serait pas possible…
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